Etude du role des bandes enherbées sur le maintien de la biodiversité au sein des paysages agricoles. Cette étude a été réalisée dans le cadre d’un projet financé par la région Bretagne. Le protocole consistait à réaliser 3 transects au sein de la bande enherbée. Chaque transect est séparé de 50m Pour chaque transect, 4 quadrats de 2m*0.5m ont été effectués. Q1 : relevé dans la haie ou bordure Q2 : relevé à 5à cm de la bordure Q3 : centre de la BE Q4 : à 50 cm de la parcelle L’abondance-dominance de chaque espèce a été mesurée à l’aide des coefficients de Braun Blanquet. 47 bandes suivies : 46 en 2006, 53 en 2007 et 34 en 2008.. Article ref : Ernoult A, Vialatte A, Butet A, Michel N, Rantier Y, Jambon O, Burel F (2013). Grassy strips in their landscape context, their role as new habitat for biodiversity, Agriculture, Ecosystems & Environment, 166: 15-27 Programme de recherché : Projet SIE financement région Bretagne

Campagne d'étude de l'impact de la création d’une bande enherbée sur la communauté des coléoptères carabiques. Deux projets ont été réalisé sur des parcelles différentes à l'exception d'une. 1er projet (2007 à 2009) : Protocole : piègage par Barber (pièges à fosse) de fin avril à mi-octobre. Article de référence : Grassy strips in their landscape context, their role as new habitat for biodiversity, le 15 fevrier 2013 Programme de recherche : aucun 2ème projet (2010 à 2012) : Protocole : piègage par Barber (pièges à fosse) Article de référence : aucun Programme de recherche : aucun

Cette étude vise à analyser la répartition de la canche cespiteuse sur le marais de Sougeal Une cartographie des populations de D. cespitosaa été réalisée sur l’ensemble du marais. Après un repérage au préalable sur les photographies aériennes de 2006, l’ensemble du marais a été parcouru à pied afin de délimiter les populations en place. Pour chaque population, un indice de densité a été utilisé indexé sur une échelle de cinq niveaux de recouvrement: 0 : 0% de surface occupée par D. cespitosa, 1 : < 20% de surface occupée, 2 : entre 20% et 50% de surface occupée, 3 : entre 50% et 70% de surface occupée, 4 : > 70% de surface occupée. Ces différents types de population ont été caractérisés par un relevé réalisé pour chacune de ces catégories. Les données cartographiques ont été digitalisées sur le logiciel ArcGis. La surface occupée par D. cespitosasur le marais a été calculée par classe de recouvrement. Relevés tout les 4 ans : 2 relevés effectués 2008 et 2012. Prochain relevé prévu en 2016. Financement : Convention d’étude avec la communauté de communes de la baie du mont st michel

Importance des bandes enherbées dans le fonctionnement de la communauté des syrphes entomophages en sein des paysages agricoles Protocole : 10 couples de parcelles de blé échantillonnées : 10 avec présence de BE et 10 sans BE. Pour les 20 parcelles : 3 pièges jaune par parcelle à 20m de la bordure. Pièges distants de 10m Pour les 9 BE : 2 pièges jaunes espacés de 10m. Suivis de mi avril à mi juillet 2008 Article de référence : Ernoult A, Vialatte A, Butet A, Michel N, Rantier Y, Jambon O, Burel F (2013). Grassy strips in their landscape context, their role as new habitat for biodiversity, Agriculture, Ecosystems & Environment, 166: 15-27 Programme interdisciplinaire CNRS CEMAGREF Ingénierie Écologique

Cette cartographie a pour but d’analyser la répartition des formations végétales sur l’ensemble du marais et d’en analyser la dynamique sur le moyen terme. En juin 2007, 22 relevés floristiques ont été effectués sur l’ensemble du marais. Chaque unité de végétation a ainsi été échantillonnée suivant la méthode phytosociologique sur une surface de 25 m². La typologie des habitats a été effectuée à partir de cette base de données par l’utilisation d’analyses multivariées (AFC). Chaque unité de végétation a été par la suite digitalisée précisément à partir de l’orthophotoplan de 2006. Relevés tout les 5 ans :2 relevés effectués 2007 et 2012. Prochain relevé prévu en 2017. Convention d’étude avec la communauté de communes de la baie du mont st michel

Cette étude vise à analyser la répartition du chardon sur le marais de Sougeal Une cartographie des populations de C. arvensea été réalisée sur l’ensemble du marais. Après un repérage préalable sur la photoaérienne de 2011, l’ensemble du marais a été parcouru à pied afin de délimiter les populations en place. Pour chaque population, un indice de densité a été utilisé indexé sur une échelle de cinq niveaux de recouvrement: 0 : 0% de surface occupée par C. arvense, 1 : < 20% de surface occupée, 2 : entre 20% et 50% de surface occupée, 3 : entre 50% et 70% de surface occupée, 4 : > 70% de surface occupée. Les données cartographiques ont été digitalisées sur le logiciel ArcGis. 1 seul relevé a été éffectué en 2012. Un second est prévu d'ici 2016 ou 2017. Financement : Convention d’étude avec la communauté de communes de la baie du mont st michel

Comprendre la réponse des communautés végétales à la connectivité du paysage. 25 bois échantillonnés : La caractérisation des communautés végétales des bois a été faite à partir de relevés réalisés dans six quadrats de 14mx5m, selon un échantillonnage systématique dans chaque bois afin de prendre en compte leur éventuelle hétérogénéité. Trois sont placés le long de la lisière et trois en cœur, afin de mettre en évidence un éventuel « effet lisière ». La lisière a été définie à partir des premiers arbres (DBH>10 cm) et le cœur est la zone centrale du bois, à partir de 25m à la lisière, les principaux effets de lisière s’opérant dans les 20 premiers mètres à la bordure. La forme allongée des quadrats permet de prendre en compte l’hétérogénéité le long des lisières. L’échantillonnage couvre donc une surface de 210m2 en lisière et en cœur et 420m2 dans tout le bois, ce qui est en accord avec l’aire minimale requise pour caractériser les communautés végétales forestières (100 à 400 m2). Les pourcentages de recouvrement des plantes herbacées, arbustives et des arbres (canopée) ont été relevés dans chaque quadrat. Compte-tenu de l’emploi du temps, un seul passage a été effectué, à la fin du mois de juin afin d’augmenter les chances de capter à la fois les espèces précoces et les espèces tardives. Les relevés ont été réalisés en Juin 2012 Projet Agriconnect (2011-2015) : Continuités écologiques dans les paysages agricoles. Projet financé par le ministère chargé de l’écologie dans le cadre du programme DIVA.