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    La couche station représente la position géographique des stations sur lesquelles peuvent être effectuées des mesures de déformation (gravimétrie, inclinométrie), des mesures liées au site (données météo, données de rivière) ou bien des mesures d'écoulement dans le cas où la station se trouve sous terre. Ce sont des chroniques (données météo), des mesures ponctuelles ou bien des mesures issues d'expériences.

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    La couche puits represente la position geographique des puits sur lesquels sont effectuées des mesures chimiques, in situ (geophysique, imagerie ...), hydrauliques. Ce sont des chroniques ou bien des mesures issues d'expériences (dilution, essai de pompage ...)

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    Le service d’observation H+ a été créé en 2002, avec trois missions principales : La mission première de l’observatoire H+ est de maintenir et de coordonner un réseau de sites expérimentaux capables de fournir des données pertinentes – y compris des chroniques ou expériences long terme – pour la compréhension du cycle de l’eau et des éléments transportés dans les aquifères. Le couplage mesures / théories / modèles est une mission fondamentale de l’observatoire H+. La modélisation, à quelque niveau qu’elle soit, est un outil indispensable à la prédiction. L’observatoire a pour vocation de créer un lien pérenne entre les équipes de recherche intéressées par les aspects théoriques, numériques ou expérimentaux des transferts en milieu hétérogène. L’observatoire H+ a enfin pour mission d’établir un partenariat entre la recherche fondamentale, la formation initiale et continue, et l’expertise : bureaux d’études, régie de l’eau, ... Les sites de H+ accueillent des étudiants et des professionnels dans le cadre de formations sur l’exploitation de la ressource et la prévention des risques environnementaux. La base de données contient toutes les mesures effectuées sur les différents sites, chroniques, expériences, mesures de géophysiques et données spatialisées.

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    Le site d’Hyderabad (Inde) est situé dans un aquifère cristallin altéré et fracturé soumis à de fortes pressions anthropiques (pompages, intrants…) induites par les pratiques agricoles. Le site de Choutuppal (43 ha) constitue un observatoire expérimental local disposant d’une vingtaine de piézomètres entre lesquels des essais de pompages en interférences et essais de traçages peuvent être réalisés. Le bassin versant de Maheshwaram (55 km2) est caractérisé par une très forte activité agricole impactant le cycle de l’eau, le niveau de la nappe aquifère et sa qualité. Plusieurs centaines de forages abandonnés sont disponibles pour réaliser diverses investigations. Les questionnements scientifiques sont la compartimentation/hétérogénéité de l’aquifère de socle, les relations entre propriétés hydrodynamiques et paramètres de transport et finalement l’évolution de la composition chimique de l’eau souterraine en lien avec les activités anthropiques et le changement climatique. Les problèmes essentiels concernent la vulnérabilité de la population à la disponibilité de la ressource et sa qualité altérées par les activités anthropiques Le partenaire du site est le National Geophysical Research Institute qui possède le foncier de Choutuppal et possède un accord de collaboration avec les chefs de villages à Maheshwaram.