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Les données sont un ensemble de 115 relevés botaniques réalisés dans 6 parcs urbains de la ville de Rennes. Chaque relevé mesure 4 x 4m et comporte l’ensemble des espèces présentes ainsi que leur recouvrement (indice de Braun-Blanquet). Les relevés ont été réalisés dans le cadre d’un projet financé par la Zone Atelier Armorique visant à évaluer les effets de la gestion différenciée mise en place par la ville de Rennes sur la diversité taxonomique, fonctionnelle et phylogénétique. Auteurs des relevés : Vincent Jung et Simon Chollet
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Occupation du sol du site de Pleine-Fougères en 2010 (Zone Atelier Armorique) réalisée à partir de la photointerprétation de vol ULM
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Projet Fleur 2015-2018 : données décembre 2015- mars 2018 Echantillonnage de ravageurs et de leurs ennemis naturels dans les champs de céréales et deux types d'habitats adjacents, marges herbeuses et bandes fleuries semées. Echantillonnage en période hivernale de Décembre à mi-Mars. Les limaces ont été échantillonnées dans les parties de culture proche des habita.ts adjacents et au sein de ces derniers. L'échantillonnage a été réalisé par pièges barbers
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Réseau de haies du site D de Pleine-Fougères en 1952 (Zone Atelier Armorique) réalisée à partir de la photointerprétation de vol IGN
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Le cours amont de la Sélune n'est pas accessible aux poissons migrateurs du fait des deux barrages hydroélectriques. Les lamproies sont bloquées à une quinzaine de kilomètres de la mer par le premier barrage infranchissable de la Roche qui boit. La méthode utilisée pour échantillonner les lamproies est celle mise au point par Lasne et al. (2010) permettant de prélever plus efficacement les individus de très petite taille que par pêche électrique. La méthode s’appuie sur l’utilisation d’un outil dérivé du filet de Surber, permettant de prélever les ammocètes de façon standardisée. Cette enceinte permet de réaliser des prélèvements ponctuels, à la manière des EPA. La réalisation d’un point de prélèvement se déroule en plusieurs étapes. Après avoir localisé un microhabitat favorable, une caisse est enfouie dans le substrat jusqu’à une profondeur d’environ 15 cm. L’opérateur prélève alors le substrat et le dépose dans le filet. La colonne d’eau dans la caisse est filtrée et les sédiments dans le filet déposés sur un tamis afin de récupérer toutes les ammocètes. Ces dernières sont mesurées et des prélèvements génétiques sont effectués lorsque leur taille le permet. Un total de 30 prélèvements maximum est effectué par station. Ce tableau contient les données individuelles sur les lamproies capturées selon les années d'étude 2013, 2015, 2019 et 2021.
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L’écrevisse invasive Pacifastacus leniusculus, également appelée écrevisse de Californie ou Signal est présente sur le bassin de la Sélune depuis plusieurs années mais cantonnée à l’amont par les retenues d’eau des barrages. Son habitat potentiel va être considérablement étendu du fait de la renaturation de la vallée de la Sélune. L’objectif de ce suivi est de décrire si, et à quelle vitesse les Pacifastacus colonisent l’aval de la Sélune au fur et à mesure de son retour à un état lotique ("rivière courante"), et si de là elles colonisent les affluents auparavant inaccessibles car débouchant directement dans les retenues d’eau. Le suivi est réalisé à travers deux campagnes annuelles de suivi, au printemps et à l’automne. La présence de Pacifastacus est recherchée par piégeage via l’Indice d’Abondance Ecrevisse IAE. L’IAE est réalisé sur les stations les plus sensibles du front de colonisation et consiste à poser 15 nasses non appâtées durant 24 heures, installées tous les 10 mètres au minimum. Cette couche donne les localisations de ces stations par session session (campagne).
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Projet Fleur 2015-2018 : données décembre 2015- mars 2018 Echantillonnage de raveurs et de leurs ennemis naturels dans les champs de céréales et deux types d'habitats adjacents, marges herbeuses et bandes fleuries semées. Echantillonnage en période hivernale de Décembre à mi-Mars. Les organismes ont été échantillonnés par piège barbers, placés dans la culture proche des habitats adjacents et au sein de ces derniers
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Le site agricole ("de Pleine-Fougères") est un des deux sites ateliers de la Zone Atelier Armorique. Les principaux types de paysages de ce site sont des systèmes bocagers plus ou moins dégradés et des systèmes de zones humides.
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L’ouverture des barrages va considérablement impacter le fonctionnement des populations de truites de la Sélune. Le rétablissement de la continuité écologique du fleuve modifiera les flux populationnels en autorisant la remontée plus en amont des truites de mer amphihalines et le déplacement des truites autochtones en aval et en amont des barrages. La population de truites est suivie sur un réseau de stations couvrant l’ensemble du bassin de la Sélune à l'aide d'un indice d’abondance, qui est effectué tous les 2 ans. Les campagnes de terrain respectent le protocole de pêche Vigitruite®, mis au point à l’INRA et destiné à être utilisé partout en France. Cet indice d’abondance, rapporté à la superficie d’habitats favorables sur le cours d’eau permet d’évaluer la quantité de truitelles présentes dans la rivière, issues de la reproduction naturelle des années passées. Ce tableau donne les données individuelles sur les truites capturées selon l'année d'étude.
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Les barrages sont à l’origine de modifications significatives du régime hydrologique, de la température de l’eau et des flux biologiques et biogéochimiques. C’est le cas des barrages de Vezins et de la Roche qui Boit, présents sur le cours principal de la Sélune qui ont eu pour conséquence, l'existence de deux lacs de retenue entre 1919 et 2022 pour La Roche qui Boit et entre 1932 et 2019 pour Vezins. A compter de la fin de la dernière vidange du barrage de La Roche qui Boit, fin 2022, ces deux lacs n'ont donc plus d'existence dans le paysage de la vallée. Cette couche représente les deux lacs de retenues, tel qu'ils étaient référencés en 2017, soit avant le début des travaux de démantèlement des deux barrages hydroélectriques de la Sélune. Parmi les données attibutaires associées à ces deux entités, la longueur est issue d'un calcul réalisé par l'équipe du projet Sélune sur la base du référentiel de points établis sur la totalité du bassin versant (et donc sur la totalité du cours de la Sélune) et leur connaissance des zones d'influences lacs / cours naturel.