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    Relevés de présence-absence de faune diverse (moyens à grands mammifères, oiseaux, ...) en différents points de la Ville de Rennes par l'intermédiaire de pièges photographiques à faune. Les données sont acquises en continu de 2018 jusqu'à une date encore inconnue.

  • Le CEVA a été chargé, de 2002 à 2006, de la mise en place puis de la réalisation du suivi du phénomène de « marées vertes » à l’échelle de la Bretagne, dans le cadre du programme Prolittoral, programme régional et interdépartemental de lutte contre les marées vertes (financement de l’Agence de l’Eau Loire Bretagne, du Conseil régional de Bretagne et des quatre Conseils généraux bretons). Dans ce cadre, le CEVA a développé des outils spécifiques pour évaluer le phénomène et son évolution. Ces outils ont été élaborés en partant de la connaissance du phénomène acquise au travers des suivis antérieurs, réalisés pour le compte du Conseil général des Côtes d’Armor, de l’Agence de l’Eau Loire Bretagne et de collectivités locales bretonnes particulièrement touchées par le phénomène. Depuis 2007, le CEVA réalise les inventaires de marées vertes du Réseau de Contrôle de Surveillance (RCS) dans le cadre de la Directive Cadre sur l’Eau (DCE) pour l’évaluation des masses d’eau côtières et de transition, financée par l’Agence de l’Eau Loire Bretagne. Trois survols sont réalisés chaque année (mai, juillet, septembre) de l’ensemble du littoral (du Mont Saint Michel à l’île de Ré) faisant l’objet de l’acquisition de photographies aériennes à partir desquelles des surfaces d’échouages d’ulves sont mesurées. Pour les sites de type « sableux » classés « site à échouage d’ulves », l’estimation surfacique des échouages d’ulves en lame est réalisée pour chaque inventaire. Pour les sites de type « vaseux » marqués par un tapis continu d’algues vertes, toutes les surfaces couvertes par les algues vertes (filamenteuses ou en lames) sont estimées uniquement pour l’inventaire présentant un maximal annuel de biomasse. Cela fait suite à la mise au point des grilles de classement européennes de la DCE des masses d’eau de type « abritées » (vasières) en 2008.

  • Informations créées dans le cadre du volet cartographie (IGCS) du programme Sols de Bretagne. Coordonné par L'Institut Agro Rennes-Angers (2005-2010), ce programme a notamment pour objectifs de compléter et d'organiser les informations sur les sols bretons.

  • L’effacement des barrages de la Sélune fait l’objet d’un programme scientifique initié en 2012 dans lequel des paramètres environnementaux sont suivis afin de fournir un réel retour d’expérience sur cette opération de restauration. En 2019 s’est mis en place un observatoire de données, chargé d’assurer la collecte et le traitement de ces paramètres (biotiques et abiotiques). Les données acquises à partir de 2012 et au moins jusqu’en 2027, seront centralisées grâce à un système d’information (SI), appelé SISelune. SISelune vise à aider les scientifiques associés au programme Sélune et à rendre les données accessibles à tous. Le programme scientifique Sélune s'est doté d'un référentiel, composé de points. Ces points sont utilisables par tous les acteurs du programme pour désigner plus facilement n'importe quel lieu au sein de la zone d'étude. Les points sont créés le long des cours d'eau, avec une approche "Point kilométrique" (tous les 100m, en allant de l'amont vers l'aval). Chacun de ces points dispose d'un code unique, correspondant à l'association du cours d'eau (désigné par un code court) et de la distance à la source ou la confluence. Depuis 2025, chacun de ces points est également caractérisé par son positionnement sur le bassin versant (aval, amont, ...) par rapport à la zone déterminées par les anciens barrages et leurs réservoirs ainsi que leur distance à la mer sous 2 formes (LTM : Limite Transversale à la mer et LSE : Limite de Salure des eaux).

  • Lors de la création du CEVA en 1982 (anciennement CERAA), une enquête par questionnaire a été adressée par voie postale à des communes littorales des 4 départements, dont l’objectif était de collecter des informations sur le phénomène d’intensification de la présence d’algues vertes au cours des dernières années. Le questionnaire aborde les constatations d’échouage sur le littoral communal et les ramassages éventuellement entrepris : volume, type d’algue, coûts engendrés, moyens de ramassage et destination des algues. Aujourd’hui, les courriers sont adressés électroniquement aux communes et un questionnaire en ligne a été mis en place en 2019. Une base de données a été créée et mise à jour chaque année depuis 1997 avec les volumes d’algues vertes ramassées (m3/an) signalés par les communes. Cette couche géographique est tirée de cette base de donnée.

  • Carte pédologique de Plouguerneau au 1/50000. La codification correspond au code 4 critères des sols du Massif armoricain (voir ressources en ligne). Les champs de la table attributaire sont : - SUB : Matériau(x) parental(aux) à partir du(des)quel(s) se développe(nt) le sol - HYD : Classe d'hydromorphie, de 0 (sol bien drainé) à 9 (sol extrêmement hydromorphie) - TYPE : Développement de profil défini à partir de la succession des horizons - PROF : Profondeur du sol, classée de 1 (sols très épais) à 6 (sols superficiels) - CODE4C : code 4 critères issu de la concaténation des champs précédents. Les valeurs prises par les différents champs pour chaque entité sont détaillées dans la méthode 4 critères (voir ressources en ligne). - UTS : Numéro d'Unité Typologique de Sol issue du Référentiel Régional Pédologique de Bretagne.

  • Le cours amont de la Sélune n'est pas accessible aux poissons migrateurs du fait des deux barrages hydroélectriques. Les lamproies sont bloquées à une quinzaine de kilomètres de la mer par le premier barrage infranchissable de la Roche qui boit. La méthode utilisée pour échantillonner les lamproies est celle mise au point par Lasne et al. (2010) permettant de prélever plus efficacement les individus de très petite taille que par pêche électrique. La méthode s’appuie sur l’utilisation d’un outil dérivé du filet de Surber, permettant de prélever les ammocètes de façon standardisée. Cette enceinte permet de réaliser des prélèvements ponctuels, à la manière des EPA. La réalisation d’un point de prélèvement se déroule en plusieurs étapes. Après avoir localisé un microhabitat favorable, une caisse est enfouie dans le substrat jusqu’à une profondeur d’environ 15 cm. L’opérateur prélève alors le substrat et le dépose dans le filet. La colonne d’eau dans la caisse est filtrée et les sédiments dans le filet déposés sur un tamis afin de récupérer toutes les ammocètes. Ces dernières sont mesurées et des prélèvements génétiques sont effectués lorsque leur taille le permet. Un total de 30 prélèvements maximum est effectué par station. Cette donnée comprend les abondances observées lors des échantillonnages de lamproies selon les années d'étude 2013, 2015, 2019 et 2021.

  • La couche des drains du Système d’Observatoires d’Expérimentations et de Recherche en Environnement (SOERE) de Produits Résiduaires Organiques (PRO) EFELE représente la position géographique des drains du dispositif du SOERE

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    Occupation du sol du site de Pleine-Fougères en 2010 (Zone Atelier Armorique) réalisée à partir de la photointerprétation de vol ULM

  • Le cours amont de la Sélune n'est pas accessible aux poissons migrateurs du fait des deux barrages hydroélectriques. Les lamproies sont bloquées à une quinzaine de kilomètres de la mer par le premier barrage infranchissable de la Roche qui boit. La méthode utilisée pour échantillonner les lamproies est celle mise au point par Lasne et al. (2010) permettant de prélever plus efficacement les individus de très petite taille que par pêche électrique. La méthode s’appuie sur l’utilisation d’un outil dérivé du filet de Surber, permettant de prélever les ammocètes de façon standardisée. Cette enceinte permet de réaliser des prélèvements ponctuels, à la manière des EPA. La réalisation d’un point de prélèvement se déroule en plusieurs étapes. Après avoir localisé un microhabitat favorable, une caisse est enfouie dans le substrat jusqu’à une profondeur d’environ 15 cm. L’opérateur prélève alors le substrat et le dépose dans le filet. La colonne d’eau dans la caisse est filtrée et les sédiments dans le filet déposés sur un tamis afin de récupérer toutes les ammocètes. Ces dernières sont mesurées et des prélèvements génétiques sont effectués lorsque leur taille le permet. Un total de 30 prélèvements maximum est effectué par station. Ce tableau contient les données individuelles sur les lamproies capturées selon les années d'étude 2013, 2015, 2019 et 2021.