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  • L’API bosco diffuse des données d'humidité des sols de Bretagne de 2017 à 2022 au standard OGC SensorThings. L'estimation de l'humidité des sols de Bretagne représentée sous la forme d'une série temporelle d'images raster à 10 mètres de résolution entre janvier 2017 et décembre 2022. La méthode d’estimation de l’humidité, développée à l’INRAE (UMR TETIS), est basée sur l'utilisation d'images satellitaires des nouveaux systèmes d’observation de la Terre Copernicus radar et optique Sentinel-1 et Sentinel-2. Plus d'informations sur la méthode : https://geosas.fr/metadata/pdf/Livrable_TED_Bosco_Mars2022_Bretagne_INRAE_Baghdadi.pdf

  • L’API OGC EDR SAFRAN diffuse des données météorologiques quotidiennes sur la France métropolitaine de 1958 à 2024. SAFRAN est un système d’analyse à mésoéchelle de variables atmosphériques près de la surface. Il utilise des observations de surface, combinées à des données d’analyse de modèles météorologiques pour produire les paramètres (température, humidité, vent, précipitations solides et liquides, rayonnement solaire et infrarouge incident). Ils sont ensuite interpolés sur une grille de calcul régulière (8 x 8 km). Plus d'informations : https://meteo.data.gouv.fr/datasets/donnees-changement-climatique-sim-quotidienne/

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    Le site d’Hyderabad (Inde) est situé dans un aquifère cristallin altéré et fracturé soumis à de fortes pressions anthropiques (pompages, intrants…) induites par les pratiques agricoles. Le site de Choutuppal (43 ha) constitue un observatoire expérimental local disposant d’une vingtaine de piézomètres entre lesquels des essais de pompages en interférences et essais de traçages peuvent être réalisés. Le bassin versant de Maheshwaram (55 km2) est caractérisé par une très forte activité agricole impactant le cycle de l’eau, le niveau de la nappe aquifère et sa qualité. Plusieurs centaines de forages abandonnés sont disponibles pour réaliser diverses investigations. Les questionnements scientifiques sont la compartimentation/hétérogénéité de l’aquifère de socle, les relations entre propriétés hydrodynamiques et paramètres de transport et finalement l’évolution de la composition chimique de l’eau souterraine en lien avec les activités anthropiques et le changement climatique. Les problèmes essentiels concernent la vulnérabilité de la population à la disponibilité de la ressource et sa qualité altérées par les activités anthropiques Le partenaire du site est le National Geophysical Research Institute qui possède le foncier de Choutuppal et possède un accord de collaboration avec les chefs de villages à Maheshwaram.

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    Le site du Durzon correspond à un aquifère karstique d’une superficie de 100 km2 qui alimente la source du Durzon (débit moyen 1.4 m3/s). Cette source fournit de façon naturelle l’alimentation en eau potable de la partie aveyronnaise du Larzac. Ce site dispose d’un suivi du débit de la source (Parc Naturel des Grands Causses). Le laboratoire Géosciences Montpellier assure un suivi pluviométrique, la mesure des écoulements souterrains, la mesure des déformations associées à la recharge par inclinométrie, et la mesure de la gravité sur des sites aériens et souterrains. Des suivis hydrologiques et géochimiques complémentaires sont assurés par le laboratoire Hydrosciences Montpellier.

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    Le Site Expérimental Hydrogéologique (SEH) de Poitiers a été développé par l’équipe Hydrasa (FRE 3114), dans le cadre du Réseau National de Sites Hydrogéologiques (SNO H+) et du programme "EAUX" de la région Poitou-Charentes (CPER 2002-2006). Situé 2 km à l’Est du Campus Sciences de l’Université de Poitiers, le SEH couvre une superficie de 12 hectares sur des terrains appartenant à l’Université (Site du Deffend : Observatoire Régional du Patrimoine Végétal). D’un point de vue géologique, le SEH est implanté sur le versant nord du « Seuil du Poitou », vaste plateau carbonaté Mésozoïque marquant la transition entre les bassins sédimentaires Aquitain et Parisien.

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    Le site de Plœmeur (Morbihan) correspond à un aquifère exploité depuis 1991 en domaine cristallin fracturé, qui fournit ~ 1 million de m3 par an pour l’alimentation en eau potable d’une ville de 20000 habitants. La qualité chimique de l’eau extraite est très bonne, elle est notamment caractérisée par un faible taux de nitrates dans une région pourtant fortement touchée par les pollutions diffuses. Bien que les roches présentes soient constituées de granites et de micaschistes, roches classiquement considérées comme peu perméables, on observe des écoulements très rapides, localisés dans quelques zones fracturées. Les problèmes essentiels concernent la vulnérabilité de l’aquifère vis à vis des transferts de polluants anthropiques, les risques éventuels de salinisation de cet aquifère côtier, et la définition des zones de recharge en lien avec la mise en place d’un périmètre de protection. Ce site dispose d’une couverture piézométrique très dense avec une cinquantaine de forages de 30 à 150 m de profondeur. Ce dispositif permet de réaliser des suivis long terme – hydrologiques, hydrochimiques et géophysiques – et des expérimentations innovantes sur les propriétés hydrologiques des milieux hétérogènes.