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    Le suivi des pollinisateurs consiste à réaliser des comptages d’insectes (abeilles sauvages, abeilles domestiques, syrphes, bourdons, autres diptères, papillons) au butinage des fleurs et en vol le long de transects marchés. La longueur de ces transects est de 50 m. Un transect est placé en bordure de parcelle (zone non-cultivée). L'autre transect est placé au centre de la parcelle, i.e. à 50 m du bord de la parcelle. Les transects sont délimités en largeur par un couloir de 1 m de part et d’autre de l’observateur. Les plantes à felurs en fleurs sont identifiées à l’espèce. Les pollinisateurs sont identifiés à vue au morphogroupe voire au genre ou à l’espèce quand c’est possible. Des photographies sont prises pour confirmer l'identification des insectes au laboratoire. En plus des butinages des pollinisateurs sur les plantes, les espèces végétales en fleurs ignorées par les insectes sont également notées. Toutes les espèces en fleurs se voient attribuer une évaluation de leur recouvrement. Les suivis de pollinisateurs sont réalisés lorsque la température est supérieure à 15° C et plus en cas de couvert nuageux. Les suivis sont réalisés dans des conditions où le vent ne dépasse pas 30 km/h. La fenêtre temporelle idéale pour les suivis est de 12:00-16:00. Un suivi trop précoce (avant 9:00-10:00) risquerait d’augmenter les écarts de conditions de suivis Les suivis sont réalisés dans 20 parcelles au Sud de l'Ille-et-Vilaine, toutes en agriculture biologique. 10 parcelles sont cultivées en céréales pures et 10 parcelles sont cultivées en mélange céréales/légumineuses (pois ou féverolle). Les suivis se sont déroulés de mai à juillet 2018 à raison de 1 à 2 relevés par mois. Le travail s'inscrit dans le stage de Master 2 de Tristan Berry "Rôle de la diversification végétale, à différentes échelles, pour le maintien de la diversité des communautés d'insectes pollinisateurs dans les paysages agricoles" encadré par Stéphanie Aviron et Audrey Alignier.

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    Le jeu de données comprend la vitesse de décomposition en milieux aquatique, terrestre humide et terrestre sec dans la forêt de Villecartier pour 18 espèces d'arbres (..........................................). Les caractéristiques chimiques (composition élémentaire C,N,P; teneur en phénol/polyphénol, cellulose, hémicellulose, métaboliques secondaires, terpènes, micronutriments) ainsi que leurs caractéristiques physiques (dureté, épaisseur, SLA, capacités de retention en eau) ont également été mesurées. De plus, la colonisation par les invertébrés et la biomasse microbienne (par mesure de respiration par la méthode SIR) ont été mesurées dans chaque milieux et pour chaque type de feuille. Des données sur les communautés d'invertébrés et les conditions climatiques (température, hygrométrie) des sites sont également disponibles

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    "Relevés de la structure des bordures des champs sur les 3 mini-réseaux (A, B et C) de la ZAAr, 2015" Relevés de la structure des bordures de champs sur les 3 mini-réseaux (site A, B et C) de la Zone Atelier Armorique. Les variables mesurées sont la largeur de la bordure, la longueur de la bordure, la présence ou non de talus, la hauteur de talus, la présence ou non de fossé, la profondeur du fossé, la présence ou non de clôture, la localisation de la clôture. En parallèle, sur un échantillon de bordure, c'est-à-dire sur un tronçon de 25m de long représentatif de la physionomie générale de la bordure: 1) caractérisation de la structure verticale de la bordure: observation de la présence ou non de strate arbustive (si oui, évaluation en % de l'échantillon de bordure), présence ou non de strate arborée (si oui, évaluation en % de la longueur de l'échantillon de bordure + mesure de la hauteur dominante de la canopée + mesure de la largeur de la canopée), 2) notation des espèces arbustives dominantes, notation des espèces arborées dominantes, 3) estimation du % sol nu, du % de litière, du % de rocher sur la longueur de l'échantillon de bordure. Valorisation: Alignier A. (2018) Changes in a field margin vegetation metacommunity over a 21-year interval and the impacts of structural condition and management. Agriculture, Ecosystems and Environment, 251, 1-10

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    "Relevés floristiques sur les 3 mini-réseaux (A, B et C) de la ZAAr, 2015" Relevés de flore exhaustive sur 341 bordures de champs des 3 mini-réseaux de la Zone Atelier Armorique. Les relevés consistent en l'observation de l'abondance/dominance (coefficient de Braun-Blanquet) de toutes les espèces floristiques vasculaires sur des transects de 25m de long (largeur variable) positionnés sur les bordures de champs. La largeur du transect correspond à la largeur de la bordure de champ. Ce protocole est le même que celui réalisé par Didier Le Coeur dans sa thèse. Voir aussi Le Coeur et al. (1998) et Le Coeur et al. (2002; http://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S0167880901003164) Article de référence: Alignier A. & Baudry J. (2015) Changes in management practices over time explain most variation in vegetation of field margins in Brittany, France. Agriculture, Ecosystems and Environment, 211, 164-172.

  • "Relevés floristiques en bordures de champs suivant un référentiel de 31 espèces dans 9 paysages agricoles distribués le long du fleuve Sélune, 2016" Relevés floristiques suivant un référentiel de 31 espèces (espèces du référentiel Ecobordure) sur une vingtaine de bordures de champs dans 9 paysages agricoles de 1km² distribués le long du fleuve Sélune. Projet de recherche: Seripage Site du projet de recherche: https://www6.rennes.inrae.fr/bagap/RECHERCHE/Analyse-et-modelisation-du-paysage/Projets-termines/SERIPAGE

  • Effets de l’évolution des paysages agricoles sur les communautés de carabes et de petits mammifères (1998-1999): Etude de la diversité et de l’abondance des communautés de petits mammifères et de carabes dans 11 contextes paysagers en Bretagne. Carabes échantillonnés de mai à juillet 1998. Les collectes ont été réalisées sur 11 sites de 1km2, 10 haies avec 3 pot-pièges dans chaque haie. Petits mammifères : Etude indirecte par analyse de pelotes de rapaces. 4 sessions de collecte de pelotes d’effraie de sept 1998 à Oct 1999. Articles de références : -Millán-Peña, N., Butet A., Delettre, Y., Morant, P. & Burel, F. 2003. Landscape context and carabid beetles (Coleoptera: Carabidae) communities of hedgerows in western France. Agriculture, Ecosystems and Environments, 94 : 59-72. -Millán-Peña, N. , Butet, A., Delettre, Y., Paillat, G., Morant, P., Le Du, L. and F. Burel. 2003. Response of the small mammal community to changes in western French agricultural landscapes. Landscape Ecology, 18 : 265 - 278. -Burel, F., Butet, A. Delettre, Y.R. and Millàn de la Peña, N. 2004. Differential response of selected taxa to landscape context and agricultural intensification. Landscape and Urban Planning, 67 : 195 - 204. Programme de recherche : Le Du, L., Morant, P., Burel, F. Butet, A.., Millan, N., Rantier Y. Wolff, A., Rozé, F. Saliou, P. Baudry, J. Volant, D. 2000. Cartographie et évaluation de la qualité biologique du bocage du département des côtes d’Armor. Plan départemental pour l’Environnement Action 15-1 Amélioration des connaissances du bocage 2 volumes, 200 p. (RAPPORT)

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    Quantification de la connectivité paysagère par test de repasse sur les passereaux communs de la métropole rennaise. Identification des espèces et réponse à la repasse de chant territorial. Dans le cadre de la thèse de Manon Balbi, projet Corbam.

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    "Suivis par observation des pollinisateurs et de plantes en fleurs dans 9 paysages agricoles distribués le long du fleuve Sélune, 2016" Le suivi des pollinisateurs consiste à réaliser des comptages mensuels par observation d’insectes au butinage des fleurs ou en vol le long de transects marchés. La longueur de ces transects est de 50 m pour les parcelles agricoles et 25 m pour les bordures de champs. Les transects sont délimités en largeur par un couloir de 1 m de part et d’autre de l’observateur. Les plantes à fleurs en fleurs sont identifiées à l’espèce. Les pollinisateurs sont identifiés par grands groupes (abeilles domestique et sauvages, bourdons, syrphes, lépidoptères, coléoptères, autres diptères) voire au genre ou à l’espèce quand c’est possible (au moyen de prise de vue photo). En plus des butinages des pollinisateurs sur les plantes, les espèces végétales en fleurs ignorées par les insectes sont également notées. Toutes les espèces en fleurs se voient attribuer une évaluation de leur recouvrement en %. Au total, 6 prairies de fonds de vallée et 6 prairies de versant ont été suivies de mai à septembre 2018 ainsi que 43 bordures de champs. Projet de recherche: Seripage (financement AESN - programme SELUNE) Site du projet de recherche: https://www6.rennes.inrae.fr/bagap/RECHERCHE/Analyse-et-modelisation-du-paysage/Projets-termines/SERIPAGE

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    Suivi expérimental de la dispersion de graines adventice, Le Rheu, 2021 En amont du suivi de dispersion des graines, des plantes en pot sont cultivées en serre. Les graines sont marquées à l’aide de peinture fluorescente.Une semaine avant installation des pots sur le terrain, les plantes sont acclimatées aux conditions extérieures en réduisant progressivement l’arrosage. Après récolte du blé dans la parcelle sélectionnée, les pots sont enterrés sur le terrain, dans un champ « donneur » (A) séparé d’un champ « receveur » (B) par une haie, sur le domaine expérimental du Rheu. La mesure de la dispersion des graines depuis les plantes mères se fait au cours des mois de septembre et octobre. Les relevés se font la nuit (entre 23h et 2h), à l’aide d’une lampe UV, sur une zone de 120m par 78m. Les espèces adventices (Avena fatua, Lolium multiflorum, Sonchus Asper et Fallopia convolvulus) sont positionnées dans le champ donneur, à 50m et à 0.5m de l’interface champ – haie. Les espèces associées aux haies (Galium aparine et Anisantha sterilis) sont positionnées dans la haie, du côté du champ « receveur » (les vents dominants soufflent du sud-ouest vers le nord-est). Après installation des plantes en pot sur le terrain, trois relevés (23 septembre, 30 septembre et 7 octobre 2021) sont réalisés à intervalle régulier de sept jours. Lors des deux premiers relevés, les graines observées au sol sont laissées sur le terrain afin de permettre la dispersion secondaire. Lors du troisième relevé, toutes les graines sont ramassées afin d’éviter leur germination dans les champs. Un relevé consiste en une déambulation le long d’un sentier balisé à l’aide de jalons, qui permet de noter la position de chaque graine trouvée sur une fiche terrain. Un code couleur permet de différencier les espèces et leur provenance (i.e. cœur de champ, bord de champ, haie). Document de référence: Boinot Sébastien (2023) Rapport final du projet DIVERSIT'HAIES Associer haies et agriculture biologique à différentes échelles, un levier pour conserver la diversité végétale des paysages agroforestiers et gérer la flore adventice ? 27p.