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Liens vers les fiches du catalogue OSURIS décrivant des jeux de données: de relevés, suivis et inventaires floristiques sur la Zone Atelier Armorique.
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Trente fenêtres paysagères (1km x 1km) ont été sélectionnées pour représenter la diversité du paysage du bassin versant du Couesnon tout en maximisant l’indépendance de quatre gradients décrivant la structure du paysage: deux gradients pour l’hétérogénéité du paysage, (i) hétérogénéité de composition, (ii) hétérogénéité de configuration, et deux gradients pour les quantités d’habitats semi-naturels, (iii) pourcentage de prairies, et (iv) pourcentage de haies (Figure 2). Les 30 fenêtres ont été sélectionnées sur la base d'autres critères qui limitent la probabilité de choisir des paysages atypiques : chaque fenêtre présentait ainsi moins de 2% de zone urbanisée ou d'habitats rares, au moins 5% de prairies, et au moins 1% de haies. Pour s'assurer que les sites sélectionnés étaient représentatifs du paysage environnant et pour éviter tout effet de bordure majeur, nous avons comparé la surface par type d'occupation du sol dans le paysage de 1km x 1km avec une zone plus grande (2km x 2km) centré sur chaque site et nous avons vérifié que les deux paysages (1kmx 1km versus 2 km x 2km) présentaient moins de 10% de différence entre chaque occupation du sol. Dans chaque fenêtres sont relevés plusieurs indicateurs: occupation du sol, climat, relevés biodiversité
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"Relevés floristiques effectuées sur le bassin versant du Couesnon" Les relevés sont effectués au sein du dispositif Alice. Trente fenêtres paysagères (1km x 1km) ont été sélectionnées pour représenter la diversité du paysage du bassin versant du Couesnon tout en maximisant l’indépendance de quatre gradients décrivant la structure du paysage: deux gradients pour l’hétérogénéité du paysage, (i) hétérogénéité de composition, (ii) hétérogénéité de configuration, et deux gradients pour les quantités d’habitats semi-naturels, (iii) pourcentage de prairies, et (iv) pourcentage de haies (Figure 2). Les 30 fenêtres ont été sélectionnées sur la base d'autres critères qui limitent la probabilité de choisir des paysages atypiques : chaque fenêtre présentait ainsi moins de 2% de zone urbanisée ou d'habitats rares, au moins 5% de prairies, et au moins 1% de haies. Pour s'assurer que les sites sélectionnés étaient représentatifs du paysage environnant et pour éviter tout effet de bordure majeur, nous avons comparé la surface par type d'occupation du sol dans le paysage de 1km x 1km avec une zone plus grande (2km x 2km) centré sur chaque site et nous avons vérifié que les deux paysages (1kmx 1km versus 2 km x 2km) présentaient moins de 10% de différence entre chaque occupation du sol. Dans chaque fenêtre paysagère, sélection de 3 à 5 parcelles de prairie. Pour chaque prairie, 5 relevés floristiques de 2m*2m chacun ont été réalisés. Ces relevés sont situés à au moins 5m du bord de la parcelle. Le recouvrement de chaque espèce en % a été estimé. Les relevés ont été réalisés entre avril et juillet 2018 Article de reference:
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"Relevés floristiques effectuées sur le bassin versant du Couesnon" Les relevés sont effectués au sein du dispositif Alice. Trente fenêtres paysagères (1km x 1km) ont été sélectionnées pour représenter la diversité du paysage du bassin versant du Couesnon tout en maximisant l’indépendance de quatre gradients décrivant la structure du paysage: deux gradients pour l’hétérogénéité du paysage, (i) hétérogénéité de composition, (ii) hétérogénéité de configuration, et deux gradients pour les quantités d’habitats semi-naturels, (iii) pourcentage de prairies, et (iv) pourcentage de haies (Figure 2). Les 30 fenêtres ont été sélectionnées sur la base d'autres critères qui limitent la probabilité de choisir des paysages atypiques : chaque fenêtre présentait ainsi moins de 2% de zone urbanisée ou d'habitats rares, au moins 5% de prairies, et au moins 1% de haies. Pour s'assurer que les sites sélectionnés étaient représentatifs du paysage environnant et pour éviter tout effet de bordure majeur, nous avons comparé la surface par type d'occupation du sol dans le paysage de 1km x 1km avec une zone plus grande (2km x 2km) centré sur chaque site et nous avons vérifié que les deux paysages (1kmx 1km versus 2 km x 2km) présentaient moins de 10% de différence entre chaque occupation du sol. Dans chaque fenêtre paysagère, Dans chaque fenêtre paysagère, sélection de 3 à 5 haies. Pour chaque haie, 5 relevés floristiques ont été réalisés. Chaque relevé de haie correspondait à un quadrat de 2m x la largeur de la haie. Ce choix d’une largeur dépendante de la haie a été adopté afin de (i) capturer toutes les espèces dans les haies les plus larges et (ii) éviter d'intégrer la flore d'autres habitats adjacents dans les haies les plus étroites. Seule la végétation herbacée a été étudiée. Le recouvrement de chaque espèce en % a été estimé. Les relevés ont été réalisés entre avril et juillet 2018. Article de réference:
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Ce jeu de données contient des mesures de températures atmosphériques brutes mesurées à 3m de hauteur (sur 4 sites) et des mesures de températures microlocales brutes mesurées à 5 cm du sol (sur 7 sites) en 2022. Les sites sont localisés sur les communes de Rennes, Melesse, Chantepie et Cesson-Sévigné. Pour plus de détail sur la méthodologie appliquée, consulter le mémoire d'Alice Furet.
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This data set contains the morphological measurements made on 2283 adult individuals belonging to 11 spider species. Information about endogenous factors (sex, generation/cohort) is provided for each individual, as well as corresponding environmental parameters (UHI, Near_ground_temp, Competition). Link to the dataset: https://doi.org/10.48579/PRO/UDLVCA
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Ceci est un jeu de données sur les insectes aquatiques récoltés dans le cadre de la thèse de Rémi GERBER. La période couvre 2020 et 2021 autour du Ruisseau du Guyoult, à Trans-la-Forêt en Ille-et-Vilaine. L'échantillonnage a été réalisé sur un maillage autour du ruisseau, à l'aide de pièges à interceptions. Chaque donnée comprend la localisation du piège à interception, les espèces capturées et le nombre d'individu.
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Analyse des communautés de carabes sur le dispositif Alice (Année 2023) Dispositif Alice: 20 mailles paysagères étudiées sur les 30 mailles du dispositif Mars à juin 2023 en continu par piégeage (4 sessions) Ecosystème étudié 4 interfaces prairie-culture ont été choisies au sein de chaque fenêtre paysagère. Pour chaque interface, 3 pièges à fosse (11.5cm de profondeur et 9cm de diamètre), espacés de 5m, ont été placés en bordure de prairie au niveau d’une haie et protégés par un toit en plastique (10cm x 13.5cm) pour protéger les pièges de la pluie. La solution utilisée dans les pièges était composée d’eau, de sel et de détergent (liquide vaisselle inodore). Les carabes ont été identifiés en laboratoire à l'aide de la Clé de détermination des carabides de Roger et al. (2013). Six sessions de 14 jours d'ouverture des pièges ont été réalisées. Pour chaque session, les résultats des 3 pièges ont été poolés.
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Ce projet vise à élargir l’aspect temporel (quatre derniers siècles) de l’évolution de la végétation dans le marais de Sougéal par la discipline palynologique. En septembre 2020, deux secteurs ont fait l’objet de carottages dans le marais de Sougéal : la mare de la Musse et la roselière d’Alisson. Dans chacun d’eux, une carotte de sédiment de 70 cm de profondeur a été remontée et échantillonnées en laboratoire en vue de l’analyse du contenu en pollen et en microfossiles non polliniques des échantillons de sédiment. Les données polliniques caractérisent l’état du couvert végétal du marais et son évolution en différents points du marais au cours des derniers siècles pour des moments successifs précisément datés (14C et 137Cs-210Pb). Les reconstitutions quantitatives du couvert végétal du marais viendront compléter les suivis pluriannuels de la végétation et les cartes établies à partir des données de télédétection.
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Suivi expérimental de la dispersion de graines adventice, Le Rheu, 2021 En amont du suivi de dispersion des graines, des plantes en pot sont cultivées en serre. Les graines sont marquées à l’aide de peinture fluorescente.Une semaine avant installation des pots sur le terrain, les plantes sont acclimatées aux conditions extérieures en réduisant progressivement l’arrosage. Après récolte du blé dans la parcelle sélectionnée, les pots sont enterrés sur le terrain, dans un champ « donneur » (A) séparé d’un champ « receveur » (B) par une haie, sur le domaine expérimental du Rheu. La mesure de la dispersion des graines depuis les plantes mères se fait au cours des mois de septembre et octobre. Les relevés se font la nuit (entre 23h et 2h), à l’aide d’une lampe UV, sur une zone de 120m par 78m. Les espèces adventices (Avena fatua, Lolium multiflorum, Sonchus Asper et Fallopia convolvulus) sont positionnées dans le champ donneur, à 50m et à 0.5m de l’interface champ – haie. Les espèces associées aux haies (Galium aparine et Anisantha sterilis) sont positionnées dans la haie, du côté du champ « receveur » (les vents dominants soufflent du sud-ouest vers le nord-est). Après installation des plantes en pot sur le terrain, trois relevés (23 septembre, 30 septembre et 7 octobre 2021) sont réalisés à intervalle régulier de sept jours. Lors des deux premiers relevés, les graines observées au sol sont laissées sur le terrain afin de permettre la dispersion secondaire. Lors du troisième relevé, toutes les graines sont ramassées afin d’éviter leur germination dans les champs. Un relevé consiste en une déambulation le long d’un sentier balisé à l’aide de jalons, qui permet de noter la position de chaque graine trouvée sur une fiche terrain. Un code couleur permet de différencier les espèces et leur provenance (i.e. cœur de champ, bord de champ, haie). Document de référence: Boinot Sébastien (2023) Rapport final du projet DIVERSIT'HAIES Associer haies et agriculture biologique à différentes échelles, un levier pour conserver la diversité végétale des paysages agroforestiers et gérer la flore adventice ? 27p.