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    Le site agricole ("de Pleine-Fougères") est un des deux sites ateliers de la Zone Atelier Armorique. Les principaux types de paysages de ce site sont des systèmes bocagers plus ou moins dégradés et des systèmes de zones humides.

  • L'Evaporative Fraction (EF) est un indice permettant d'avoir une connaissance relative des zones à fort potentiel hydrique, et inversement, par l'estimation de la capacité d'un sol à évaporer. Cette capacité s'estime via des valeurs allant de 0 (non évaporante) à 1.26 (très évaporante).

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    "Suivi de la communauté des carabes sur de haie des 3 mini réseaux de la ZA (mini réseau C de la Pleine-fougères)" Ce suivi s'inscrit dans le suivi des communauté de carabes des haies des mini-réseaux de la Zone Atelier Armorique (site de Pleine-fougères). Dans le mini-réseau C, 10 haies ont été choisies en fonction de leur structure (strate arborescente, strate arbustive, talus, fossé...). Dans chaque haie sont positionnés 3 pot-barbers écartés de 1 à 2 m de distance. Ces pots-pièges sont positionnés au milieu de la haie. Pour chaque année d'étude, les pièges sont ouverts en continu, de fin avril à début octobre, par session de 15 jours. Ce suivi est effectué tous les 2 ans: 2007, 2009, 2011, 2013, 2015, 2017, 2019.

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    Le site urbain de la Zone Atelier Armorique ZAAr (parfois désigné par "Site de Rennes-Métropole"). Les types de paysages sont des systèmes urbains, des systèmes bocagers plus ou moins dégradés et des systèmes de zones humides.

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    Cette cartographie a pour but d’analyser la répartition des formations végétales sur l’ensemble du marais et d’en analyser la dynamique sur le moyen terme. En juin 2007, 22 relevés floristiques ont été effectués sur l’ensemble du marais. Chaque unité de végétation a ainsi été échantillonnée suivant la méthode phytosociologique sur une surface de 25 m². La typologie des habitats a été effectuée à partir de cette base de données par l’utilisation d’analyses multivariées (AFC). Chaque unité de végétation a été par la suite digitalisée précisément à partir de l’orthophotoplan de 2006. Relevés tout les 5 ans :2 relevés effectués 2007 et 2012. Prochain relevé prévu en 2017. Convention d’étude avec la communauté de communes de la baie du mont st michel

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    Cette étude vise à analyser la répartition de la canche cespiteuse sur le marais de Sougeal Une cartographie des populations de D. cespitosaa été réalisée sur l’ensemble du marais. Après un repérage au préalable sur les photographies aériennes de 2006, l’ensemble du marais a été parcouru à pied afin de délimiter les populations en place. Pour chaque population, un indice de densité a été utilisé indexé sur une échelle de cinq niveaux de recouvrement: 0 : 0% de surface occupée par D. cespitosa, 1 : < 20% de surface occupée, 2 : entre 20% et 50% de surface occupée, 3 : entre 50% et 70% de surface occupée, 4 : > 70% de surface occupée. Ces différents types de population ont été caractérisés par un relevé réalisé pour chacune de ces catégories. Les données cartographiques ont été digitalisées sur le logiciel ArcGis. La surface occupée par D. cespitosasur le marais a été calculée par classe de recouvrement. Relevés tout les 4 ans : 2 relevés effectués 2008 et 2012. Prochain relevé prévu en 2016. Financement : Convention d’étude avec la communauté de communes de la baie du mont st michel

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    La Zone Atelier Armorique est un dispositif d’observation labellisé par le CNRS et dont l’objet est d’étudier sur le long terme les interrelations entre les activités humaines et les processus écologiques au sein d’un territoire donné et par des approches pluridisciplinaires. Elle fait partie du réseau des Zones Ateliers français mais également du réseau européen des sites LTSER (Long Term Socio-Ecological Research Sites). Selon les années, 8 à 11 équipes de recherche (Université de Rennes, CNRS, INRA) travaillent au sein de la Zone Atelier Armorique, la plupart étant rattachée à l’OSUR. Les recherches portant sur la Zone Atelier Armorique s’intéressent à analyser et comprendre l’effet de la variabilité spatiale et temporelle du paysage sur la biodiversité et le fonctionnement écosystémique. Elles sont déclinées plus particulièrement au sein de trois principaux axes de recherche : 1.) Aménagements, politiques publiques et dynamique des paysages, 2.) Influence de la dynamique spatio-temporelle du paysage sur l’organisation de la biodiversité ; 3.) Influence de la dynamique spatio-temporelle du paysage sur les fonctions écosystémiques. La Zone Atelier Armorique a pour limites géographiques le département de l’Ille et Vilaine et plus particulièrement deux sites ateliers « site agricole » (parfois désigné par "Site Atelier de Pleine-Fougères") et « site urbain » (parfois désigné par "Site de Rennes-Métropole"). Les trois principaux types de paysages de ces sites sont des systèmes bocagers plus ou moins dégradés, des systèmes de zones humides et des systèmes urbains. Au 1er/01/2018, les responsables de la Zone Atelier Armorique sont Cendrine MONY et Christophe PISCART.

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    Conséquences de l’intensification agricole sur l’abondance de deux rapaces diurnes : la buse variable (Buteo buteo) et le faucon crécerelle (Falco tinnunculus) (Depuis 2004): Suivi par méthode IPA et IKA de l’abondance de deux espèces de rapaces diurnes dans 3 contextes paysagers contrastés ZAA et polders de la Baie du Mont st Michel Suivi IPA-IKA permanent tous les deux mois depuis décembre 2004 (suivi mensuel au cours de l’année 2005) Article de référence : -Butet, A., Michel, N., Rantier Y., Comor, V., Hubert-Moy, L., Nabucet, J., Delettre, Y. 2010. Responses of Common Buzzard (Buteo buteo) and Eurasian Kestrel (Falco tinnunculus) to land use changes in agricultural landscapes of Western France. Agriculture, Ecosystems and Environment, 138: 152-159. Programme : Programme national ANR-ECCO (CNRS INSU) « Dynamique des paysages et interactions proies-prédateurs (petits mammifères, rapaces). Conséquences de l’intensification agricole sur l’architecture des réseaux trophiques et les transferts de biomasse.

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    Cette étude vise à analyser la répartition du chardon sur le marais de Sougeal Une cartographie des populations de C. arvensea été réalisée sur l’ensemble du marais. Après un repérage préalable sur la photoaérienne de 2011, l’ensemble du marais a été parcouru à pied afin de délimiter les populations en place. Pour chaque population, un indice de densité a été utilisé indexé sur une échelle de cinq niveaux de recouvrement: 0 : 0% de surface occupée par C. arvense, 1 : < 20% de surface occupée, 2 : entre 20% et 50% de surface occupée, 3 : entre 50% et 70% de surface occupée, 4 : > 70% de surface occupée. Les données cartographiques ont été digitalisées sur le logiciel ArcGis. 1 seul relevé a été éffectué en 2012. Un second est prévu d'ici 2016 ou 2017. Financement : Convention d’étude avec la communauté de communes de la baie du mont st michel

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    Trente fenêtres paysagères (1km x 1km) ont été sélectionnées pour représenter la diversité du paysage du bassin versant du Couesnon tout en maximisant l’indépendance de quatre gradients décrivant la structure du paysage: deux gradients pour l’hétérogénéité du paysage, (i) hétérogénéité de composition, (ii) hétérogénéité de configuration, et deux gradients pour les quantités d’habitats semi-naturels, (iii) pourcentage de prairies, et (iv) pourcentage de haies (Figure 2). Les 30 fenêtres ont été sélectionnées sur la base d'autres critères qui limitent la probabilité de choisir des paysages atypiques : chaque fenêtre présentait ainsi moins de 2% de zone urbanisée ou d'habitats rares, au moins 5% de prairies, et au moins 1% de haies. Pour s'assurer que les sites sélectionnés étaient représentatifs du paysage environnant et pour éviter tout effet de bordure majeur, nous avons comparé la surface par type d'occupation du sol dans le paysage de 1km x 1km avec une zone plus grande (2km x 2km) centré sur chaque site et nous avons vérifié que les deux paysages (1kmx 1km versus 2 km x 2km) présentaient moins de 10% de différence entre chaque occupation du sol. Les conditions climatiques locales au sein des fenêtres paysagères sont étudiées grâce à la mise en place de deux enregistreurs de température de l'air dans chaque fenêtre paysagère. Ces capteurs (Tinytag Plus 2 - TGP-4017) ont été placés dans des abris (ACS-5050) et fixés à 2 mètres du sol sur des poteaux de clôtures en bois adjacents à des parcelles de prairie (Figure 3). Ainsi 60 capteurs enregistrent depuis octobre 2019 la température de l'air toutes les heures.