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    Ce suivi a pour but de mettre en place un observatoire sur le long terme des modifications des communautés végétales terrestres au sein du marais de Sougeal. Ce dispositif comprend 5 transects répartis sur le marais et positionnés parallèlement au gradient d’inondation Ils ont été positionnés de manière à représenter l’ensemble des principales communautés végétales du marais correspondant aux habitats suivants : prairie mésophile, prairie mésohygrophile, prairie hygrophile, prairie longuement inondée. Le long de chacun de ces transects, des relevés de végétation ont été effectués de manière systématique tous les 5m sur des carrés de 4m². Toutes les espèces présentes ont été identifiées et associées à un indice d’abondance-dominance selon l’échelle de Braun- Blanquet. 2 relevés effectués en 2008 et 2012. Programme : Convention d’étude avec la communauté de communes de la baie du mont st michel

  • L’écrevisse invasive Pacifastacus leniusculus, également appelée écrevisse de Californie ou Signal est présente sur le bassin de la Sélune depuis plusieurs années mais cantonnée à l’amont par les retenues d’eau des barrages. Son habitat potentiel va être considérablement étendu du fait de la renaturation de la vallée de la Sélune. L’objectif de ce suivi est de décrire si, et à quelle vitesse les Pacifastacus colonisent l’aval de la Sélune au fur et à mesure de son retour à un état lotique ("rivière courante"), et si de là elles colonisent les affluents auparavant inaccessibles car débouchant directement dans les retenues d’eau. Le suivi est réalisé à travers deux campagnes annuelles de suivi, au printemps et à l’automne. La présence de Pacifastacus est recherchée par piégeage via l’Indice d’Abondance Ecrevisse IAE. L’IAE est réalisé sur les stations les plus sensibles du front de colonisation et consiste à poser 15 nasses non appâtées durant 24 heures, installées tous les 10 mètres au minimum. Les Pacifastacus capturées sont comptées, sexées et conservées entières au congélateur pour mesures biométriques ultérieures en laboratoire.

  • L’écrevisse invasive Pacifastacus leniusculus, également appelée écrevisse de Californie ou Signal est présente sur le bassin de la Sélune depuis plusieurs années mais cantonnée à l’amont par les retenues d’eau des barrages. Son habitat potentiel va être considérablement étendu du fait de la renaturation de la vallée de la Sélune. L’objectif de ce suivi est de décrire si, et à quelle vitesse les Pacifastacus colonisent l’aval de la Sélune au fur et à mesure de son retour à un état lotique ("rivière courante"), et si de là elles colonisent les affluents auparavant inaccessibles car débouchant directement dans les retenues d’eau. Le suivi est réalisé à travers deux campagnes annuelles de suivi, au printemps et à l’automne. La présence de Pacifastacus est recherchée par piégeage via l’Indice d’Abondance Ecrevisse IAE. L’IAE est réalisé sur les stations les plus sensibles du front de colonisation et consiste à poser 15 nasses non appâtées durant 24 heures, installées tous les 10 mètres au minimum. L'abondance en Pacifastacus est obtenu par comptage des individus capturés et en prenant en compte l'effort de capture.

  • L’écrevisse invasive Pacifastacus leniusculus, également appelée écrevisse de Californie ou Signal est présente sur le bassin de la Sélune depuis plusieurs années mais cantonnée à l’amont par les retenues d’eau des barrages. Son habitat potentiel va être considérablement étendu du fait de la renaturation de la vallée de la Sélune. L’objectif de ce suivi est de décrire si, et à quelle vitesse les Pacifastacus colonisent l’aval de la Sélune au fur et à mesure de son retour à un état lotique ("rivière courante"), et si de là elles colonisent les affluents auparavant inaccessibles car débouchant directement dans les retenues d’eau. Le suivi est réalisé à travers deux campagnes annuelles de suivi, au printemps et à l’automne. La présence de Pacifastacus est recherchée par piégeage via l’Indice d’Abondance Ecrevisse IAE. L’IAE est réalisé sur les stations les plus sensibles du front de colonisation et consiste à poser 15 nasses non appâtées durant 24 heures, installées tous les 10 mètres au minimum. L'abondance en Pacifastacus est obtenu par comptage des individus capturés et en prenant en compte l'effort de capture.

  • L’écrevisse invasive Pacifastacus leniusculus, également appelée écrevisse de Californie ou Signal est présente sur le bassin de la Sélune depuis plusieurs années mais cantonnée à l’amont par les retenues d’eau des barrages. Son habitat potentiel va être considérablement étendu du fait de la renaturation de la vallée de la Sélune. L’objectif de ce suivi est de décrire si, et à quelle vitesse les Pacifastacus colonisent l’aval de la Sélune au fur et à mesure de son retour à un état lotique ("rivière courante"), et si de là elles colonisent les affluents auparavant inaccessibles car débouchant directement dans les retenues d’eau. Le suivi est réalisé à travers deux campagnes annuelles de suivi, au printemps et à l’automne. La présence de Pacifastacus est recherchée par piégeage via l’Indice d’Abondance Ecrevisse IAE. L’IAE est réalisé sur les stations les plus sensibles du front de colonisation et consiste à poser 15 nasses non appâtées durant 24 heures, installées tous les 10 mètres au minimum. Les Pacifastacus capturées sont comptées, sexées et conservées entières au congélateur pour mesures biométriques ultérieures en laboratoire.

  • L’écrevisse invasive Pacifastacus leniusculus, également appelée écrevisse de Californie ou Signal est présente sur le bassin de la Sélune depuis plusieurs années mais cantonnée à l’amont par les retenues d’eau des barrages. Son habitat potentiel va être considérablement étendu du fait de la renaturation de la vallée de la Sélune. L’objectif de ce suivi est de décrire si, et à quelle vitesse les Pacifastacus colonisent l’aval de la Sélune au fur et à mesure de son retour à un état lotique ("rivière courante"), et si de là elles colonisent les affluents auparavant inaccessibles car débouchant directement dans les retenues d’eau. Le suivi est réalisé à travers deux campagnes annuelles de suivi, au printemps et à l’automne. La présence de Pacifastacus est recherchée par piégeage via l’Indice d’Abondance Ecrevisse IAE. L’IAE est réalisé sur les stations les plus sensibles du front de colonisation et consiste à poser 15 nasses non appâtées durant 24 heures, installées tous les 10 mètres au minimum. L'abondance en Pacifastacus est obtenu par comptage des individus capturés et en prenant en compte l'effort de capture.

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    28 parcelles de prairies temporaires d'âge 6 ou 7 ans (occupation du sol en cultures avant); Parcelles gérées par pâturage et (éventuellement fauche ponctuellement) Au sein de chaque parcelle, 10 relevés de banques de graines ont été effectués selon un plan d'échantillonnage systématique (des relevés floristiques ont été effectués aux même points -> cf fiche relevés floristiques) Chaque relevé de banque de graines a été effectué sur une surface de 5x5m en réalisant 7 prélèvements aléatoires de carottes de sol de 4cm de diamètre et de 20cm de profondeur séparées en trois profondeurs de sol: 0-5cm, 5-10cm, 10-20cm. L'ensemble des prélèvements des carottes de sol a été poolé au niveau de la parcelle par profondeur de sol (trois profondeurs de 70 carottes par parcelle). Les prélèvements ont été mis en chambre froide pour lever la dormance pendant 4-6semaines. Les échantillons ont été mis à germer en serre après tamisage selon la méthode de Ter Heerdt (1996) Toutes les espèces végétales ont été identifiées

  • L’écrevisse invasive Pacifastacus leniusculus, également appelée écrevisse de Californie ou Signal est présente sur le bassin de la Sélune depuis plusieurs années mais cantonnée à l’amont par les retenues d’eau des barrages. Son habitat potentiel va être considérablement étendu du fait de la renaturation de la vallée de la Sélune. L’objectif de ce suivi est de décrire si, et à quelle vitesse les Pacifastacus colonisent l’aval de la Sélune au fur et à mesure de son retour à un état lotique ("rivière courante"), et si de là elles colonisent les affluents auparavant inaccessibles car débouchant directement dans les retenues d’eau. Le suivi est réalisé à travers deux campagnes annuelles de suivi, au printemps et à l’automne. La présence de Pacifastacus est recherchée par piégeage via l’Indice d’Abondance Ecrevisse IAE. L’IAE est réalisé sur les stations les plus sensibles du front de colonisation et consiste à poser 15 nasses non appâtées durant 24 heures, installées tous les 10 mètres au minimum. Les Pacifastacus capturées sont comptées, sexées et conservées entières au congélateur pour mesures biométriques ultérieures en laboratoire.

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    28 parcelles de prairies temporaires d'âge 6 ou 7 ans (occupation du sol en cultures avant); Parcelles gérées par pâturage et (éventuellement fauche ponctuellement) Au sein de chaque parcelle, 10 relevés floristiques ont été réalisés selon un plan d'échantillonnage systématique et localisés à plus de 20m des bordures. (relevés de banques de graines effectués au sein des mêmes relevés -> cf fiche banque de graines) Chaque relevé est réalisé en juin 2016 au sein d'un carré de 5mx5m en % de recouvrement par rapport au sol Toutes les espèces végétales ont été identifiées

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    Titre: Un millénaire d’interactions entre sociétés et leurs environnements en Arctique et Subarctique (Canada et Groenland). Résumé Le projet InterArctic est centré sur la vulnérabilité, la résilience et l'adaptation de sociétés humaines nordiques face aux changements globaux. L'actuel réchauffement rapide du climat arctique a déjà entrainé de nombreux changements dans les comportements sociaux, économiques et culturels des populations habitant ces régions et plus de changements sont à venir. Ces changements perturbent le fragile équilibre entre sociétés et environnement. Les populations arctiques doivent faire face à ces challenges et, dans un tel contexte, observer et étudier les événements du passé donnent l'opportunité d'explorer les relations complexes entre climat, écologie et sociétés humaines, qui peuvent aider à proposer des scénarios d'évolution selon certaines prévisions. Le cadre chronologique de ce projet couvre le dernier millénaire, une période assez bien documentée. La région d'étude concerne le nord-est du Canada (Nunavik et Labrador-Nunatsiavut) et le Groenland (nord et sud). Il y a environ 1000 ans cal. AD. Certains territoires de ces régions, furent témoins de la rencontre des fermiers européens provenant de la Scandinavie et des chasseurs-cueilleurs-pêcheurs provenant de la Béringie. Présentement, ces deux styles de vie continuent à coexister, avec des activités agricoles dans le sud de Groenland et la chasse, la pêche et la cueillette sur les côtes de Nunavut, du Nunavik et du Labrador et du nord de Groenland. Dans ces secteurs d'étude, notre but est de documenter 1000 ans d'interactions entre les Thule/Inuit (Dorset pro parte) et les Norois et leur environnement à travers une approche interdisciplinaire exploitant toute une variété d'archives sédimentaires. L'exploitation des archives pédo-sédimentaires (dépôts lacustres et tourbeux, cryosols, sols anthropisés) et les analyses multiproxies paléoenvironnementales renseigneront sur l'évolution paysagère et sur la part prise par les forçages climatiques et anthropiques sur les processus écologiques. Les sites archéologiques et plus spécifiquement les sols archéologiques, les écofacts et artefacts trouvés en leur sein livreront de précieuses informations sur la nature de ces interactions. En parallèle quand cela sera possible, une approche en géographie culturelle sera conduite selon des interviews semi-dirigés pour enquêter sur la mémoire humaine des aînés, la perception et les perspectives en matière de changements environnementaux et sociaux. Plusieurs modes de diffusion des connaissances acquises par Inter sont identifiés et adaptés aux diverses audiences et partenaires : académiques (communications dans colloques, et articles dans revues internationales), communautés et autorités locales. C'est une priorité pour nous de disséminer les résultats de nos travaux sur le terrain et en laboratoire auprès d'un public non-spécialiste, tout particulièrement en direction de la jeunesse vivant dans les communautés Inuit, selon un site web interactif et une page Facebook. Mots clés : Arctique, Subarctique, Groenland, Nunavik, Labrador-Nunatsiavut, Canada, Norois, Fermes, Interactions Homme-milieu, Thule, Inuit, Archives naturelles, Établissements archéologiques, Artefacts archéologiques, Matières premières, Changements climatiques, Environnements, Paysage, Écosystèmes, Biodiversité, Changements globaux, Changements sociaux, Flore, Faune, Sols, ADN ancien, Perception, Mémoire, Héritages, Holocène, Dernier millénaire.